Description
Newest record by Scorpion Violente featuring the violent trilogy: the wound, the stalker, the knife. Their second release on bruit direct disques, natural home of scorpion violente.
Avec un blaze en hommage aux grandes heures du polar bis italien et une synthwave poisseuse à souhait, empoisonnée aux drogues de synthèse et à la rouille de circuits imprimés, Scorpion Violente a tout pour déplaire aux amateurs de divertimento pour génération entrepreuneuriale.
Molestant leurs synthétiseurs avec la vigueur de maniaques en phase dépressive, les deux compères envoient des décharges de sons sales dilués dans le feedback, renvoyant Ich Bin et le Syndicat Electronique à leurs cahiers de vacances.
Le tempo s’est ralenti, l’écho lointain d’In Aeternam Vale et de Ike Yard exsudent de leurs boucles lancinantes. Des litanies au bord du gouffre imprègnent désormais leur cold blues cyclothymique, à faire se retourner Alan Vega dans sa tombe.
Rengaines crapuleuses crachées comme du fiel par un animal blessé, contes de la folie ordinaire, cauchemars du quotidien et rockab sidérurgique made in Lorraine, voyage dans les vapeurs froides d’une héroïne coupée au soufre.
On ne triche pas avec ces gens là, entiers et sans concession. La vie, c’est beau aussi quand ça craint; c’est peut-être même là, au firmament des crevards et dans l’atrium des usines désertées, que subsistent les derniers vestiges de la poésie. Ils nous ont bien fait mariner depuis leur dernier EP, mais ça valait le coup de patienter.
– Eva Revox, Paris
drywud –
ils sont ou les mp3 s’il vous plait ?
Guy M. –
Bonjour, lorsque vous avez commandé vous recevez un mail de confirmation. le lien vers les MP3 se trouve dans ce mail, plutot au début du mail.
Votre,
Guy
Baldur –
Hé, je commander le dernier Scopion violente mais du coup c’est quand qu’il sort et que je le reçois ?
Guy M. –
il part de l’usine demain alors je pense pouvoir le poster à tous ce vendredi 17 Février
2017
jbbornbad –
et askip, scorpion violente ces des gro nuls et cétait mieux avant dans les 90’s, c mon frère qui ma dit