Description
Au cours des 20 dernières années, Leighton Craig s’est forgé un chemin low-tech/econo, documentant des pièces pour clavier, des chansons, des field recordings et des installation sonores. Il a également été actif au sein d’une poignée de formations outsider de Brisbane, y compris les hurluberlus free-rock de The Lost Domain, les miniaturistes pop de The Deadnotes et le duo du caisson sensoriel Primitive Motion.
Après quelques sorties en solo sur le label Room 40 et sa propre structure, Kindling, « Diamond Eye » représente l’affirmation ultime du travail solo de Craig. Enregistré à domicile et lors de vacances à la plage, entre 2006 et 2010, Diamond Eye agit comme un journal de bord rempli d’esquisses, composé d’hymnes approximatifs et de chansons hantées. Mélodies aériennes et boucles en décomposition nous rapprochent parfois d’une bande originale pour films imaginaires tournés à domicile; à d’autres moments, les cymbales amplifiées et une cassette interminable parviennent à fixer le flou, à le figer dans le temps. Masterisé avec un maximum de ronronnements par Lawrence English, les tons chocolatés du clavier de ce disque feront fondre vos enceintes.
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.